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Durondeau, De Tongre, Beurré Durondeau
- Famille:Rosaceae
- Genre:Pyrus
- Espèce:Pyrus communis L.
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- Patrimoniale:Oui
- Commerciale:Oui
- Rare:Fréquente
- Ancienne:Très ancienne < 1900
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- Région où elle a été retrouvée:Wallonie
- Terroir où elle a été retrouvée:Hainaut
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Variété belge, obtenue vers 1811, par Charles-Louis Durondeau, brasseur à Tongre- Notre-Dame dans le Hainaut.
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- Forme:piriforme ventrue ou turbinée allongée, finement bosselée dans son pourtour.
- Oeil:fermé, moyen ou mi-ouvert, inséré dans une dépression peu profonde assez large et irrégulière.
- Pédoncule:moyennement long inséré obliquement ou rejeté un peu sur le côté par un petit mamelon.
- Epiderme: légèrement rugueux, épais, vert foncé, marbré de beige passant au jaune plus clair à maturité, joue parfois lavée de rouge carmin.
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- Qualité:chair blanche, mifine, peut se manger croquante mais devient mi-fondante, juteuse et agréablement acidulée et ‘vineuse’, légèrement astringente. Très peu ou pas de pépins (tendance à la parthénocarpie car diploïde).
- Date de cueillette:fin-septembre.
- Epoque de consommation:fin-septembre à octobre.
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- Vigueur:moyenne à vigoureuse.
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- Adaptation au porte-greffe:<br>très bonne affinité de greffe au cognassier.
- Epoque de floraison:avril.
- Sensibilité aux maladies, aux ravageurs et aux désordres physiologiques:variété très sujette à la tavelure sur fruits, feuilles et surtout sur bois.
- Conduite:sous toutes formes basses-tiges, buissons ou formes palissées verticales (‘U’, palmette ‘Verrier’).
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- Variété originale qui a ses adeptes mais trop sensible à la tavelure pour être préconisée autrement qu’en espalier bien exposé sud ou sud-est.
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